Campagne moisson-battage: accélérer l’indemnisation des agriculteurs affectés.
Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a ordonné, dimanche lors de la réunion du Conseil des ministres qu’il a présidée, le ministre de l’Agriculture d’accélérer l’indemnisation des agriculteurs affectés, avant le début de la saison agricole en leur assurant tous les moyens nécessaires, donnant des instructions quant à l’impérative exploitation, dès cette saison, des moyens technologiques, notamment les drones pour identifier les sites et les conditions de stockage des céréales, selon un communiqué du Conseil des ministres.
« Concernant la campagne moisson-battage, le Président a instruit le ministre de l’Agriculture d’accélérer l’indemnisation des agriculteurs affectés, avant le début de la saison agricole en leur assurant tous les moyens nécessaires », précise la même source.
« Il a ordonné l’indemnisation du reste des victimes des récents incendies à travers un recensement minutieux associant les autorités locales », ajoute le communiqué.
« Le Président a donné des instructions quant à l’impérative exploitation, dès cette saison, des moyens technologiques, notamment les drones pour identifier les sites et les conditions de stockage des céréales », souligne la même source.
Le Président Tebboune a également enjoint de « lancer une campagne nationale avec l’association de tous les acteurs des collectivités locales et des agriculteurs, en vue d’œuvrer rapidement à l’augmentation du rendement de la production par hectare de blé et d’orge, tout en intensifiant le partenariat étranger, dans l’objectif d’atteindre une moyenne de production de 30 à 35 quintaux par hectare ».
Le président de la République a ordonné l’extension de la capacité de stockage stratégique des céréales, à l’échelle nationale et la mise en place d’une commission nationale supervisée par le Premier ministre et présidée par les walis, chacun dans sa wilaya, pour assurer un suivi direct de la campagne moisson-battage.
Il a également ordonné le « recours à la photographie par drones, tout en assurant la coordination entre les services de l’Agriculture et de sécurité pour déterminer les superficies réelles des terres cultivées ».
Le président de la République a instruit, en outre, d’œuvrer en coordination avec les ministères de l’Agriculture et du Commerce afin de faciliter les échanges dans le domaine de l’élevage de bétail et de production de viandes rouges, avec les pays africains, afin de parvenir à une diversification de la production et à un équilibre des prix.
Pourquoi dans la commune de Larhat { w, de Tipaza} plus precisement au douar recemment renomme’ ‘subjectivement Ikhlifayen (ex les Oliviers) , de tout tant un endroit a vocation agricole (legumes, fruits , arboriculture (amandes, olives caroubes, vignes etc), apiculture etc etc etc un endroit qui fait vivre tant de familles et de populations aux alentours vers les marches de Damous et Gouraya, pourquoi donc les autorites( de la Commune de Larhat de la Wilaya de Tipaza en passant par la Daira de Damous sont tacites en permettant aux detenteurs de moins de 1 hectare et demi comme les Ouazen residant a Damous et les Meraine Smail et Hakim aussi proprietaires dans le meme endroit Ikhlifayen , a urbaniser SAUVAGEMENT le village d Ikhlifayen a vocation agricole – je repete – en vendant des terrains en petites parcelles pour que des nouveaux acquereurs acheteurs venus de differentes villes du pays entre autre Blida pour batir leurs nouvelles de la maniere LA PLUS ANARCHIQUE qui existe , avec dernirement des eaux usees eclaboussant laissant pulluler les moustiques tigres et les odeurs nauseebondes sans aucune intervention des autorites sanitaires ou communales sensees manager toute la commune. Et pourtant il y aurait un article foncier qui dit qu il n est pas autorise’ a vendre des terres agricoles en parcelles pour la contruction mais par contre vendre sa tgerre de moins de 1hectare et demi a un particulier pour continuer a l exploiter en produits agricoles . Une fois urbaniser nombreuses sont des familles avec de petites proprietes ne savent plus comment faire, car on ne peut plus recolter des amandes ou du raisin par exemples concrets et veridiques -car ces crimes sont deja arrives !- sans se faire voler par des gosses qui sautent et ecrasent les clotures, le nouveaux venu se plaingnant des piqures d abeilles car il y a des ruches a cote de sa nouvelle construction et aussi des chemins viscenaux a centianes d annees sont repris par les nouveaux arrivants car ils disent « on nous la vendu » avec bien sur un papier timbre sans permis de construction. Au lecteur de juger ! Ca c est la verite c’est la realite en pleine figure que vivent les habitants de ce village paysan agricole autrefois paisible. Conclusion a ponderer : ALORS QUE L’ETAT ALGERIEN DEPOIE DES MOYENS IMMENSES POUR ENRAYER LA DEPENDENCE ALIMENTAIRE vis a vis de l’ etranger (importations), CERTAINES FAMILLES QUI ONT DES TERRES HERITEES( c est a dire que d autres paumees ne pouvant reclamer leur part) TROUVENT LE MOYEN ( la laxite’ du reglement foncier ?) DE SE FAIRE DU POIGNON EN SABOTANT TOUT CE QUE L’ETAT FAIT POUR SUBVENIR AUX BESOINS ALIMENTAIRES DU PAYS ET EN CREANT DE NOUVEAUX PROBLEMES SOCIAUX UNSOLUBLES. ON NE PEUT QUE SE REFERER A LA LOI SUR LA VENTE DES TERRES DE MOINS DE 15000M2 C’EST A DIRE DE MOINS DE 1HECARE ET DEMI DE DEMEURER TERRE AGRICOLE ET NON DE DEVENIR UN AUTRE DORTOIR URBAIN dans un endroit ou chacune des familles du village ont une ou plusieurs petites parcelles pour planter leur vigne et arbres pour subvenir a leur besoin et non attendre que d autres les nourissent.
Bonjour Monsieur,
Merci pour votre commentaire très intéressant.
Nous allons l’intégrer dans notre billet des lecteurs.